de Venise en Italie expédiée le 4/11/2005
Michel, je pleure ton Alice perdue :
pauvre aventurière, couverte d'une si légère armure
inutile aux pincements intérieurs.
J'ai encore en mémoire les éclats de son rire si rare, en nos murs
Et le miroir de l'eau d'ici m'évoque son passage dans l'au-delà.
Les gondoles noires sont autant de barques de Charon
et, à chaque traversée, je franchis donc le STYX.
Je t'embrasse affectueusement
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